Cher quelqu’un.
Je ne suis pas mais qu’un autre qui t’écris.
Mais tu te questionneras,
mais tu me demanderas.
Qu’est-ce que c’est cette chose tellement importante ?
Eh bien ! Tu verrais.
Seulement dire :
La vie c’est le plus simple et le plus compliqué bataille à s’affronter.
La vie est tous les pas que tu faites.
Il y a un moment à la vie de tous les personnes quand tous elles se questionnent que sont les choses que elles ont fait.
Possiblement ce moment est la mort.
Excuse-moi, évidemment, ce n’est pas le moment précis de la mort,
mais, tu le sais, le moment d’avant.
Le moment d’avant de la mort, à lequel restent les souvenirs.
Quel est ton opinion sur la mémoire ?
C’est la mémoire, comme dirait Magritte, une dame ensanglanté ?
C’est la mémoire une dame qui saigne ?
Est-ce que tu sais pourquoi la mémoire saigne ?
Pardon pour l’interrogatoire.
Il n’y a pas d’excuses pour un inconnu qui ne s’arrête pas de faire des questions.
Mais je crois que le thème est très intéressant.
À mon avis la mémoire saigne parce que les souvenirs sont la même chose que les cicatrices.
Elles sont le signe de nôtre passé, de nôtres actions.
Pour résumer, les cicatrices et les souvenirs nous permettons de nous souvenir et de cette façon elles nous permettons de souffrir.
C’est le passé que nous avons le besoin de changer. Le désiré irréalisable de retourner.
Mais je ne peux pas continuer avec cette lettre jusqu'à l’infini.
Même si elle est « le lettre que quelqu’un a leu ».
Oui, oui…Je le sais. C’est très abstract pour parler de rien et aussi pour parler de tous les choses.
C’est possible parler de tous les choses ?
Non, ce n’est pas possible.
Avec tout mon affection :
Un autre.
Ayer había alerta de ciclón tropical.
Solo fue una alerta.
Pero se derramó mucha agua.
